alizee

D'origine Corse (elle a passé son enfance à Ajaccio),Alizée- qui est d'ailleurs son vrai nom- est née le 1er Août 1984. Elle a un petit frère (qui a un an de moins qu'elle) et un petit ami. Elle tient à garder son nom secret pour respect pour sa famille. Son premier titre et sa voix assez métallique laisse présager une belle carrière dans la chanson, quand à son album, c'est déjà un succès avant sa sortie...

Déjà passionnée de danses et de théâtre, elle se destinait probablement au métier d'artiste. Elle avait d'ailleurs gagné au concours de dessin en 1995, à la clef un voyage aux Maldives et le droit de baptiser un avion de son nom. Elle pratique aussi les claquettes et est fun de Brad Pitt et Julia Roberts.

Mais les talents d'Alizée vont au delà du monde du spectacle. Elle est en effet rentrée en 1ère S bien que le monde du spectacle l'ait obligé à abandonner le Lycée pour les cours par correspondance.

En avril 2000, son passage à "graine de stars" à probablement été déterminant. Elle chantait "Ma prière" d'Axelle Red et avait répondu aux questions de Laurent Boyer aux côtés de Laruzo.

Mais la vraie révolution s'est faite lors de sa rencontre avec Mylène Farmer et Laurent Boutonnat. La plus collectionnée des chanteuses françaises fut emballée et après quelques essais des studios, elle fut engagée pour le 1er single ( Moi... Lolita).

L'Aircheck d'Alizée avec Moi.. Lolita en radio était très bon (13ème fin juin), et ses disques en édition limitée s'arrachent.

Yulia Volkova (la brune) et Lena Katina (la rousse, fatalement), deux jeunes filles russes qui se connaissent depuis qu'elles sont enfants. Elles ont en effet fait parti du même groupe d'enfants chanteurs : Naposedi.

Yulia en a été exclu pour "des actes répréhensibles" plus probablement des avances sexuellement explicites à ses petites camarades. Lena reste dans le groupe jusqu'en 1999.

Début 2000, elles se présentent en même temps à un casting sans savoir que l'autre est là. Casting regroupant plus de 500 candidates. Le futur producteur de Tatu, Ivan Shapovalov compte bien monter un groupe qui va casser la baraque ! Il remarque d'abord Yulia, puis par hasard (?) Lena. Elles se retrouvent plus tard au studio en poussant des cris de joie.

D'après Shapovalov, la première chanson "All the things she saids" n'est alors pas encore écrite. Il remarque que les filles sont plus que des amies et leur demande si elles accepteraient de chanter sur ce thème. On connaît la réponse.

Le succès est immédiat. Relayé par un clip génial qui passe plus de 30 fois par semaine sur MTV Russia, le premier single de Tatu cartonne. La polémique enfle en même temps que les ventes de disques. Les Russes sont TRES choqués de voir des gamines de 16 ans s'embrasser sans vergogne sur scène et quasiment à toutes les interviews. Mais rien n'y fait, la jeunesse russe à visiblement besoin de se défouler : où qu'elles se trouvent, Yulia et Lena sont précédées et suivies d'une horde d'adolescents déchaînés.

Elles ont été copieusement sifflées lors d'un concert en Roumanie. Les insultes volaient bas et finalement leur prestation a été interrompue par l'organisateur de peur que cela ne dégénère en bataille rangée. Il y a encore du chemin à faire...

En Italie l'été dernier, elles étaient invitées au Festivalbar un grand concert où étaient réunies plus de 15 000 personnes. L'organisateur leur a gentiment demandé de ne pas s'embrass er pendant la chanson, que cela pouvait choquer au vu de leur jeune age. Pour ceux et celles qui ont eu la chance de voir la scène, ils savent que le baiser fut long et intense... La foule a eu un moment de stupeur avant de pousser des cris excités. Le directeur de la chaîne, où devait être diffusé le concert, à promis de couper le baiser au montage.

Revenons -en un moment à la suite de leur aventure en Russie. Après le carton de "All the things she said", elles sortent "Not gonna get us" où perce l'envie de fuir un monde trop rigide. Le clip est très bien réalisé et l'enfer blanc de la Sibérie donne envie de fuir, c'est clair ! Debout sur la citerne d'un énorme camion qui fonce dans le blizzard, elles disent leur désir d'être seules au monde (elles ont aussi l'air de se geler, mais bon c'est le climat...) Une fois de plus la chanson marche très bien et l'album sort dans la foulée en Russie. Il s'en vendra plus d'un million d'exemplaires, sans compter les quatre millions de copies pirates qui inondent le marché.

Le clip suivant nous montre à quel point les jeunes filles Russes peuvent être jalouses et bricoleuses ! Yulia confectionne une GROSSE bombe destinée à faire sauter la belle Lena (et la moitié de Moscou vu la taille du joujou) qui la trompe avec un garçon. Sûrement dû au désir du réalisateur de se lancer dans les effets pyrotechniques, ce n'est pas le meilleur clip même si "30 minutes" est une jolie ballade.

Le suivant est bien plus intéressant (cachez votre sourire concupiscent cher(e)s lecteurs(trices) !). Il a déclenché un tel scandale, qu'il n'a été diffusé qu'une seule et unique fois en Russie. Si vous ne l'avez pas encore vu, je vous en fait un rapide résumé. "Simple motions" fait l'apologie de l'onanisme (la masturbation quoi...) Lena attends Yulia dans un café et visiblement elle pense à elle, elle a le regard vague et elle remue langoureusement sa cuillère dans une tasse de thé. Où est le scandale là-dedans me direz-vous ? J'y viens.

Yulia n'a pas l'air de s'ennuyer pendant ce temps... Face caméra, elle fait... et bien... euh... enfin elle le fait. Attention, on ne voit rien, que son visage, mais ça suffit largement à être très explicite. Les petits gémissements, le regard noyé de plaisir et ses joues rouges sont assez révélateurs.

Il me reste à commenter leur tenue sur scène et là j'avoue que je reste perplexe... Quelle drôle d'idée de chanter en slip... C'est sexy ok, mais limite de mauvais goût. La chorégraphie de Malchik Gay en est l'exemple parfait, elles se dandinent en mimant des actes sexuelles puis s'aspergent d'eau façon "concours de tee-shirt mouillés"... bof. Je doute que l'idée soit d'elles.

Pour le reste et plus précisément les tenues d'écolières, on sait qu'elles ne sont pas les premières à les avoir adoptées. Britney Spears aux States et Alizée ici ont largement diffusé ce genre de tenues sexy. La mode des "Lolitas" est en plein essor et nos amis Russes ne sont pas passés à côté.

J'ai lu très récemment un article paru dans un journal belge. Je suis restée perplexe devant le double discours... Ce journal pour ados (dont je ne ferais pas la pub) fait une triple page sur Tatu, photos à l'appui. La bio des filles, d'où elles viennent, comment leur histoire a commencé. Jusqu'ici rien à dire. Les critiques viennent ensuite.

Musique pas révolutionnaire (bon... chacun ses goûts) mais surtout manipulation du public. Ils en viennent un peu rapidement à la conclusion que tout est faux dans leur relation, qu'elles ne sont qu'un produit marketing fabriqué de toutes pièces. Je dis que c'est aller un peu vite en besogne ! Mais là où vraiment je bondis c'est quand ils nous disent que le clip ATTSS est limite porno ! Qu'il ne manque plus qu'un "cun..." (sic) pour faire bonne mesure ! On n' a pas du voir le même clip.

Sentirai-je poindre un fond malsain d'homo phobie ??? Car enfin, ce clip est plutôt soft et mignon, pas de quoi se mettre en transe pour un baiser ! De là a y voir du porno, il y a une sacrée marge ! Combien de boys-band à moitié nu pour faire admirer leurs pecs ?

Avec les Grammys, les MTV Video Awards et les spots publicitaires de Pepsi, Shakira la gracieuse nous a ensorcelés en douceur. Enfant prodige qui écrit sa première chanson à huit ans, la blonde Colombienne est trilingue mais ne parle d’amour qu’en espagnol. Perfectionniste, elle passe des heures en studio. Amoureuse de la nature, elle avoue une passion pour les guitares électriques. Elle éclate de jeunesse mais témoigne d’une maturité qui dépasse ses 24 ans. Comme l’a écrit son compatriote, le Prix Nobel de littérature Gabriel Garcia Marquez : « La musique de Shakira porte une estampille personnelle qui ne ressemble à aucune autre, et aucune artiste, tous âges confondus, ne sait danser ou chanter comme elle, avec une telle sensualité innocente, qui n’appartient qu’à elle. »
La rapide ascension de Shakira au firmament des hit-parades en fait une légende en Amérique latine. A 13 ans, elle signe son premier contrat d’enregistrement chez Sony Music et sort son premier album Magia. Après son baccalauréat, elle décide de se consacrer à la musique et enregistre Peligro (Danger) et Pies descalzos (Pieds nus) qui firent d’elle une vedette en Amérique latine, au Brésil (plus d’un million de ventes) et en Espagne. Son album suivant Donde Estan Los Ladrones?, dont elle était la productrice et Emilio Estefan le producteur exécutif, l’impose comme figure majeure du pop-rock latino. L’album est plusieurs fois disque de platine aux Etats-Unis, en Argentine, en Colombie, au Chili, en Amérique Centrale et au Mexique, et album de platine en Espagne. Elle enchaîne ensuite avec un Grammy, deux Latin Grammys, des passages à la télévision... Une étoile du nom de Shakira est née.

Shakira est une fascinante palette de contradictions. « Je suis née et j’ai grandi en Colombie, mais j’écoutais Led Zeppelin, The Cure, Police, les Beatles et Nirvana. J’adorais ce son rock mais par ailleurs, comme mon père est d’origine libanaise à 100 %, j’adore aussi les sonorités arabes. Je suis en quelque sorte une fusion de toutes ces passions et ma musique est une fusion d’éléments que j’arrive à faire cohabiter en un seule et même lieu : une chanson. »

Les chansons de son nouvel album, LAUNDRY SERVICE, son premier album avec des chansons en anglais, vont révolutionner la pop. Objection (Tango) aux accents tango, Eyes Like Yours au parfum oriental, le style novateur du texte de Underneath Your Clothes, la richesse mélodique de The One ou le très pop-rock Whenever Wherever : Shakira prouve qu’elle est l’égale des plus grands auteurs-interprètes, toutes langues confondues.

« La vie est une fête, j’en suis de plus en plus convaincue. J’avais une vision un peu étriquée de l’amour. Maintenant je me lâche, et c’est génial. J’ai fait un grand ménage intérieur, voilà pourquoi l’album s’intitule LAUNDRY SERVICE. »

LAUNDRY SERVICE est extraordinaire : Shakira a su traduire sa sensibilité latino-américaine dans une autre langue. L’idée de chansons en anglais naît lors de la collaboration avec Gloria et Emilio Estefan. Gloria lance la balle en traduisant Ojos Así, une des chansons de l’album précédent : Donde Estan Los Ladrones? (Où sont les voleurs ?). « Je voulais qu'elle y participe parce qu’elle faisait partie de ceux qui savaient que je pouvais faire un album en anglais. »

Plus dur fut le défi personnel. « J’ai écrit Objection en premier. Ce jour-là, j’ai prié le ciel de m’inspirer une belle chanson, et je me souviens avoir commencé à écrire quelques heures après. J’ai écrit la musique et le texte en même temps. C’était un moment magique. »

Une fois Objection terminée, elle sait qu’elle peut en écrire une dizaine d’autres. Elle part donc avec tout son matériel et son petit monde et installe un studio provisoire dans la campagne uruguayenne. Inspirée par l’énergie brute de l’environnement sauvage, elle écrit plusieurs autres chansons d’une veine plus intérieure et plus passionnée que jamais : « Il me fallait trouver un moyen pour exprimer en anglais mes idées, mes sentiments, mes petits riens du quotidien. J’ai acheté deux-trois dictionnaires de rimes, j’ai lu de la poésie et des auteurs comme Leonard Cohen et Walt Whitman. »

« Le sentiment amoureux me venait en espagnol et je cherchais à le rendre en anglais. Peu à peu, c’est devenu naturel. Si vous étudiez le contenu des chansons, la plupart traite de ma propre expérience, de mes sentiments et de ce que j’ai vécu. Comment peut-on ne pas écrire sur l’amour ? C’est le plus grand mystère de la vie. Je m’interroge chaque jour. »

Shakira est un des auteurs les plus poétiques de sa génération, et certainement la meilleure orfèvre féminine en matière de textes, de toute l’Amérique latine. Dans Underneath Your Clothes,

elle revendique comme son territoire un homme qu’elle compare à « une chanson écrite de la main de Dieu ». Et dans le blues-rock Fool, ses « larmes font une mer de désert ». Mais elle est toujours aussi originale et primesautière : dans Ready For The Good Times, elle se souvient de rencontres mémorables avec des cafards ; dans Poem to a Horse, elle rabroue un vieil ami complètement éteint par ses « cultures de joints hydroponiques », et dans The One, pour remercier son amant, elle s’épile les jambes et apprend à faire la cuisine.

« J’essaie de ne parler que de moi, mais beaucoup de femmes s’identifient à moi. Une chose est sûre, je ne suis pas du genre à faire la lessive tous les jours pour mon mari. Je ne veux pas que mes déclarations me fassent cataloguer comme féministe. J’essaie simplement d’être honnête avec moi-même dans mes textes. »

Aucun doute, Shakira a conservé toute son intégrité et sa créativité. Mais, et c’est peut-être le plus important, LAUNDRY SERVICE témoigne de son attachement profond aux racines du rock. « Je sentais que je devais faire un album authentique avec des musiciens en chair et en os dans le studio, comme il y a 30 ans. Nous avons engagé Terry Manning, un ingénieur du son qui a travaillé avec ACDC, Led Zeppelin, Lenny Kravitz. Il est de la vieille école. J’étais résolue à ne pas dépendre trop de l’électronique et il a parfaitement compris ma démarche. »

LAUNDRY SERVICE fait manifestement l’éloge des riffs rock à l’ancienne, du style émouvant et bluesy de Bonnie Raitt et même des lamentations des guitares d’Aerosmith. Mais Shakira reste elle-même : Whenever Wherever entraîne dans son sillage des flûtes de pan andines et des percussions brésiliennes, et Eyes Like Yours surgira de votre platine dans un déhanchement suggestif de bacchanales orientales. Et ceux qui ne rêvent que de l’entendre s’exprimer dans sa langue natale seront comblés par quatre nouveaux titres en espagnol.

« Le monde est si petit à présent, la musique si éclectique, les goûts si variés que l'influence entre les différentes cultures est devenue inévitable. » Elle se tait un instant pour donner du poids à ses paroles. « Mais le rock’n’roll ne mourra jamais. »

Billy Crawford est d'origine américano-philippine. Repéré à l'àge de trois ans dansant dans un bowling, Billy est déjà apparu dans plus d'une dizaine de films aux Philippines, remporte là-bas l'équivalent d'un Oscar et présente sa propre émission TV. Ensuite il arrive au Texas où on le repère pour un concours de jeunes talents. En 1998 il enregistre son premier album à quinze ans, après avoir dansé aux côtés de Michael Jackson. Chanteur et danseur hors-pair, il fait ses preuves auprès du grand public lors des premières parties de N'SYNC en 1998 et déchaîne les foules ! Billy confirme tous ses talents avec Trackin, premier extrait d'un album intitulé Ride qui sort en avril 2002.

Il joue ensuite dans plus d'une dizaine de films aux Philippines, remporte là-bas l'équivalent d'un Oscar, et présente sa propre émission de télé dès l'âge de 5 ans avant d'arriver au Texas vers ses 12 ans où il se fait repérer dans un concours de jeunes talents.

Il danse ensuite aux côtés de Michael Jackson avant d'enregistrer en 1998 son premier album à 15 ans seulement ! Véritable enfant de la balle, Billy Crawford est un chanteur et un danseur hors-pair, déchaînant les foules à chacune de ses apparitions, comme au cours de ses tournées aux côtés des 'N Sync ou 98°. Il est d'ailleurs choisi pour interpréter la bande originale du premier film des Pokemon.

Ride, son deuxième album dont Trackin' est le premier single, permet de découvrir son nouvel univers : "Ce disque est à mon image" déclare Billy. Le jeune producteur compositeur interprète a fait appel à Tony Maserati pour mixer la majorité des titres de l'album. Il a travaillé avec Soul Shock and Karlin pour le funky That's The Way Love Is, avec ses collaboratrices de longue date Eve Nelson et Bernadette O-Reilly pour le titre Ride ou encore avec Bilal, Falonte Moore (de Koffee Brown) et Rob Fusari (Wild Wild West) pour Serious.

Depuis son premier opus, Urgently In Love, sorti en 1998, il n'a cessé de se perfectionner, ce qui lui a permis de s'impliquer davantage dans la réalisation de Ride, qu'il a en partie composé et produit. Plus mûr et plus expérimenté, il a réalisé un album correspondant parfaitement à ses aspirations. "Je voulais que ce disque soit à la fois soul et pop", déclare Billy Crawford qui cite Al Green, Marvin Gaye et Stevie Wonder parmi ses artistes préférés, avant de préciser : "Mais je ne cherche à ressembler à personne."

Nom : Crawford
Prénoms : Billy, Joe
Né le : 16 mai 1982
A : Manille, aux Philippines
Signe Astro. : Taureau
Famille : Il a deux demi-frères qui vivent en Égypte, son père est texan est vit en Inde, sa mère est Philippine (Maryeta)
Son genre de filles (!!) : les latines genre J-lo !
Artistes préférés : Stevie Wonder, Michael Jackson, Al green, Georges Michael
Animaux préférés : bébés tigres, chiens
Films préférés : Volte-face, Desperado
Livre préféré : Macbeth ( de Shakespeare)
Parfum préféré : Hugo Boss
Collectionne : les baskets
Sports pratiqués : Jogging, skate, basket-ball, roller, natation
Adore : la pizza pepperoni - fromage, les glaces, les sushis, conduire un kart
Déteste : se lever tôt, les plats servis dans les avions, le foie, le gingembre, les films d'horreur, les gens mal élevés et ses grandes oreilles !
Qualités/Défauts : romantique, mûr, enthousiaste, naïf, gourmand

¤ Il a tourné sa première pub a 3 ans.
¤ Il parle le tagalog : un mélange d'espagnol et de chinois !
¤ Il a écrit sa 1ere chanson à l'age de 12 ans.
¤ Il a dansé aux cotés du King Of The pop Michael Jackson, à 13 ans.
¤ Plus jeune, il a fait la première partie des N'Sync.
¤ Il est sortie avec Mandy Moore
¤ Il est allergique aux poils de chats.
¤ Il y a quelques années, Billy souffrait d'un mal bien connu par les jeunes ; il avait de l'acné juvénile.
¤ Il déteste ses oreilles décollées
¤ Il a écrit la version anglaise du titre "Près de moi" de Lorie, dont il est très proche
¤ Il aimerait bien travaillé avec Wallen, ou encore, Nuttea.

Billy et Lorie cherchaient à se protéger : Le jeune homme parle de sa relation avec la jeune chanteuse française et du rôle qu'il tient dans Exorcist : The Beginning. Suite à la parution des clichés de ses vacances à l'île Maurice avec Lorie dans Voici, Billy ne peut plus démentir leur histoire d'amour. Il a déclaré à Télé Star : "Je n'ai pas grand-chose à dire là-dessus. Ces photos parlent d'elles-mêmes. Notre relation ne regarde personne d'autre que nous, je peux simplement dire que je suis heureux. Je n'ai pas honte d'avoir été surpris dans ses bras, au contraire. Si nous avions convenu de ne rien dévoiler, c'était pour mieux nous préserver. On s'est bêtement fait surprendre en vacances... Que dire de plus ? [...] Préserver ma vie privée : c'est un exercice qui demande beaucoup d'énergie." Concernant sa participation au film de Paul Schrader, il raconte : "Pour les besoins du film, les maquilleurs utilisent une colle qui me bousille la peau. J'ai l'impression de partir en lambeaux, aucune crème ne me soulage... Mais bon, c'est la dure loi du travail ! La vie privée commence lorsque les lumières s'éteignent, et la mienne, je veux la protéger. De toute façon, pour l'instant, je me consacre à ma carrière : ce film est une étape primordiale, rien ne doit m'en détourner. [...] C'est ce que j'ai toujours voulu faire. Je m'amuse bien, mais c'est beaucoup de stress, je n'arrive toujours pas à croire qu'on m'ait choisi pour tourner une superproduction américaine. Je vis un rêve, c'est du domaine du fantasme."
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