suite voir animaux orques et husky et panthères noires
Chat | Chevaux |
Allez cliquez sur les titres vous
dis-je, mais non pas ceux là
mais ceux là !!
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Le chat appartient à la famille des mammifères appelés félin.
Les félins ou félidés sont des carnivores : corps puissant, vue perçante, dent acérées et griffes pointues.
Les chats ont de petites têtes rondes, de longues moustaches, des griffes puissantes et des dents pointues qui leur servent pour attraper et mordre leur proie. Tous les félins, excepté le guépard, peuvent rentrer leur griffes l'ors qu'il ne s'en servent pas : on dit que les griffes sont rétractiles. Leur longue queue les acide à se stabiliser et leur permet de sauter et de grimper avec grâce.
La chatte porte ses petits de8 à 10 semaines et donne naissance de 2 à 6 chatons qui n'ouvrent les yeux qu'au bout de 6 à 12 jours.
Un chat peut vivre en moyen de 12 à 15 ans, mais il n'est pas rares d'observer des chats domestiques âgés de 20 ans.
Qu'est-ce que dit un chat, comment le comprendre.
- Quand un chat ronronne : c'est qu'il est content.
- Quand il remue la queue : c'est qu'il veut jouer.
- Quand il miaule : c'est qu'il a besoin de quelque chose.
- Quand il frotte sa queue contre toi : c'est qu'il veut un câlin.
- Quand il crache et que ses poils se dressent : c'est qu'il est en colère.
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mimimousse |
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Les yeux et les oreilles :
Les chats comme les prédateurs, dépendent de leur vue et de leur ouïe pour repérer les proies. La plupart chassent la nuit et doivent donc être capables de voir dans l'obscurité. La vue des chats la nuit est six fois plus perçante que celle de l'homme. Les chats ont également l'oreille fine, ce qui leur permet de localiser précisément leur proies. Ils perçoivent des sons inaudibles pour l'homme et même pour le chien.
Dilatation des pupilles
La nuit, les pupilles du chat s'agrandisse pour admettre plus de lumière. En plein jour, les pupilles de certains félins ne sont ne sont plus que des fentes. Chez d'autres, des petits cercles.
Un chat retombe toujours sur ses pattes
Les yeux, le cerveau et l'oreille interne qui contrôlent l'équilibre, leur assure de retomber sur leurs pattes. Il faut quatre étapes pour q'un chat retombe sur ses pattes :
1- RÉACTION INSTANTANÉE
L'oreille interne réagit dès que le chat perd l'équilibre. Le cerveau est aussitôt alerté et met en place les mécanismes de réaction à la chute.
2-ROTATION RAPIDE
La partie antérieure du corps reçois des signaux du cerveau et pivote pour suivre la tête. La souplesse de la colonne vertébrale permet une rotation de 180°.
3-PARE POUR LE CHOC
Au moment ou les membres antérieurs du chat se tendent pour entrer en contact avec le sol, le dos est toujours en train de pivoter. Les clavicules, situées au sommet des membres antérieur, serviront d'amortisseurs quand le chat atterrira.
4 - ATTERRISSAGE SUR SES PATTES
Quelques secondes après sa perte d'équilibre, le chat est dans la position idéale d'atterrissage. La tête et le partie fragile du corps sont hors de danger. Le chat se détend instinctivement avant le choc, ce qui évite un déchirement musculaire ou une entorse.
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petit Nala |
Mistigris et Mew |
Missie |
Missie est Nala |
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Missie se roule par terre |
Nala observe |
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pepsi au panier !! |
gros dodo de pepsi |
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de meme | ohhhhhh !!!!! |
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lutter avec l'association éthique du cheval contre l'hippophagie *
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il suffit de contacter l'association éthique du cheval
86, rue de Cassel 59800 LILLE
tel : 03 20 00 62 50 ou 06 08 34 15 99
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penser aux pauvres chevaux qui son destinés aux abattoirs
les allures | L'histoire | équitation |
L'étalon et la jument atteignent leur maturité sexuelle dès l'âge de deux ans. Cependant, ils sont rarement utilisés pour la reproduction avant leur troisième année. La gestation dure environ onze mois et il n'y a qu'un petit. Les jumeaux sont rares et seules quelques naissances de trois poulains ou plus ont été enregistrées.
Les chevaux sont capables d'adopter un grand nombre d'allures et quelques-unes ont été développées artificiellement par des entraîneurs. Les allures symétriques familières, par ordre de vitesse croissante, comprennent la marche, le pas et le trot. Le cheval marche en avançant ses jambes dans l'ordre suivant : avant gauche, arrière droite, avant droite et arrière gauche. Il va au pas en balançant les jambes gauches puis droites pratiquement à l'unisson et trotte en balançant les jambes opposées en diagonale pratiquement à l'unisson. Les allures symétriques artificielles comprennent le piaffé (sur place) et le passage (en avançant). Elles sont réalisées avec les membres levés haut, pas plus de deux membres touchant terre au même moment. Les allures asymétriques comprennent le petit galop et le grand galop, pour lesquels les membres arrière gauche puis droit touchent le sol, suivis par les membres avant gauche puis droit!; la séquence peut être inversée dans l'ordre droite-gauche.
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Les chevaux domestiques furent introduits à Babylone vers l'an 2000 av. J.-C. et en Égypte à peu près trois cents ans plus tard. Ces animaux ont été amenés en Égypte par les Hyksos en provenance du nord-est de la Syrie. Ces chevaux égyptiens et babyloniens étaient les précurseurs des races rapides de chevaux arabes du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord. Il semble qu'une autre race de chevaux ait été domestiquée en Europe. Massifs et plus lents, mais plus puissants que les chevaux arabes, ils sont considérés comme les lointains ancêtres des chevaux de trait modernes utilisés pour les labours et autres travaux de force. Certains spécialistes pensent également qu'une troisième lignée découverte dans les îles Britanniques est l'ancêtre des différentes races de poneys modernes.
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Dans la plus grande partie de l'Europe, des premiers siècles apr. J.-C. aux environs du XVIIe siècle, les chevaux indigènes puissants servaient aux opérations militaires, au remorquage de lourdes charges et comme animaux de bât. Pendant cette même période, le monde arabe avait développé des races plus petites, au galop rapide, qui furent introduites en Espagne après la conquête musulmane du VIIIe siècle. Ces chevaux devinrent célèbres pour leur rapidité et leur endurance, et beaucoup furent importés en Angleterre ou en Europe continentale dès le XIIe siècle. Toutefois, les essais systématiques visant à améliorer les races n'apparurent qu'à la fin du XVIIe siècle, où des étalons arabes furent importés en Angleterre et en France et croisés avec des juments indigènes. | |
Les premiers chevaux domestiques d'Amérique de type arabe, furent introduits par les conquistadores espagnols au XVIe siècle. On pense que Hernán Cortés, le conquérant du Mexique, et Hernando de Soto, le découvreur du Mississippi, perdirent ou abandonnèrent certains de leurs chevaux, probablement à l'origine des troupeaux sauvages que l'on trouve dans diverses régions de l'ouest de l'Amérique du Nord. Des chevaux laissés par les Espagnols retournèrent également à l'état sauvage dans les pampas d'Amérique du Sud, autour du río de La Plata. Les colons anglais, en particulier les premiers qui s'établirent en Virginie, importèrent eux aussi des chevaux. Au cours des trois cents dernières années, les éleveurs de chevaux se sont efforcés d'améliorer les diverses races et de développer des lignées adaptées à des tâches spécialisées. Parmi les nouvelles races qui en ont résulté, on trouve des chevaux de selle et des chevaux de harnais spécialement adaptés aux allures des courses, des chevaux de chasse adaptés à l'endurance, des chevaux d'équipage, des chevaux de trait, des poneys à vaches et des poneys à polo.
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La race arabe est souvent divisée en trois sous-races : les chevaux turcs de Turquie d'Europe et d'Asie Mineure, les chevaux arabes en provenance des régions situées entre Damas et l'Euphrate et les chevaux barbes des régions berbères, en Afrique du Nord. Les chevaux arabes au sens large sont des chevaux assez petits, qui mesurent entre 147 et 152 cm de hauteur au garrot. Remarquablement endurants, ce sont aussi de rapides galopeurs. Toutes les races de chevaux de selle sont issues, dans une large mesure, de chevaux arabes.
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Le pur-sang anglais a été développé au début du XVIIIe siècle à partir des rejetons de trois ancêtres reproducteurs (le turc Byerly, l'arabe Darley et le barbe Godolphin) et de juments anglaises indigènes. Il est essentiellement utilisé pour les courses de plat, la chasse et le saut d'obstacles. L'étalon américain, développé à l'époque coloniale au nord-est des États-Unis, est un cheval de harnais léger | ![]() |
qui sert le plus souvent pour des courses de trot. Sur le plan biologique, les chevaux de selle sont plus des types que des races. À cause de la popularité des divers sports ou activités équestres, des associations d'enregistrement et d'élevage ont été mises en place. Les chevaux de selle sont beaucoup plus légers que les chevaux de trait. | |
Les races de chevaux de trait sont plus distinctes que celles des chevaux de selle. Elles comprennent, par exemple, le cheval belge, le shire, le clydesdale et le percheron. Le cheval belge est l'un des plus grands chevaux. Il atteint une hauteur à l'épaule de 173 cm ou plus, et pèse jusqu'à 1 125 kg. Le shire d'Angleterre fait à peu près la même taille, mais possède de longs poils sur les pieds jusqu'au boulet et au dos des membres postérieurs jusqu'au jarret. Le clydesdale, plus petit, a été créé en Écosse en croisant des chevaux indigènes avec des chevaux belges et shire. Le percheron, qui mesure dans les 168 cm de hauteur au garrot, est originaire de l'ancienne région du Perche. Il résulte du croisement de chevaux arabes avec la vieille race flamande dont le cheval belge est le représentant moderne.
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Plusieurs races de petits chevaux, communément appelés poneys, sont originaires de Grande-Bretagne. Parmi eux, on trouve le shetland, le dales, le welsh, le dartmoor et le new forest. Le plus petit des poneys est le shetland, qui ne mesure que 106 cm de hauteur au garrot.
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Classification : les chevaux appartiennent à la famille des Équidés de l'ordre des Périssodactyles. Le cheval domestique est classé sous le nom d'Equus caballus, le cheval de Prjevalski sous celui d'E. caballus przewalskii. |
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Équitation, pratique consistant à diriger avec précision un cheval, soit en le montant, soit en conduisant un véhicule. La pratique de l'équitation comprend également les soins donnés aux chevaux et la connaissance de la sellerie.
équipement | la technique | le saut d'obstacles | le dressage |
l'attelage | les soins et l'entretien | pur-sang | les courses de chevaux |
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L'équipement essentiel du cavalier se compose du licol, du filet ou de la bride, de la selle et des étriers. On harnache généralement un cheval du côté gauche, appelé côté montoir.
Le licol Le licol permet au dresseur marchant à côté du cheval de diriger l'animal. Il se compose de lanières entourant la tête et d'un anneau auquel est fixée une longe.
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Le filet Le filet se compose du mors, d'un ensemble de lanières en cuir (muserolle, montant, frontal, sous-gorge) enserrant la tête du cheval et des rênes. Le mors est une barre métallique insérée dans la bouche du cheval et qui permet de le diriger. Les rênes |
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sont des lanières de cuir fixées à chacune des extrémités du mors, à droite et à gauche de la bouche du cheval!; le cavalier les tient plaquées contre l'encolure de l'animal. Le mors de bride est un mors plus autoritaire!; on l'emploie pour obtenir une plus grande soumission.
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La selle La selle est une assise en cuir que l'on ajuste au dos du cheval!; elle est munie de quartiers qui descendent sur les côtés, maintenue par une sangle entourant le ventre du cheval et fixée sous les quartiers. La partie de la selle occupée par le cavalier est le creux de la selle!; la partie antérieure s'appelle le pommeau et l'arrière le troussequin. Maintenus de chaque côté de la selle par des lanières réglables, les étriers, demi-cercles en bois ou en métal, servent de support aux pieds du cavalier. |
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Les types de selles varient considérablement selon leur utilisation mais les deux principaux sont la selle anglaise et la selle western. La selle anglaise est plus légère et plus plate que la selle western!; celle-ci est plus lourde et le troussequin et le pommeau sont plus hauts. L'extension du pommeau permet aux éleveurs de bétail d'y accrocher un lasso. |
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Un cavalier doit savoir monter et descendre correctement de sa monture, appliquer un ou plusieurs styles ou «!allures!» et utiliser les codes appropriés pour diriger le cheval.
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L'essentiel pour un
cavalier est d'avoir une bonne assiette, c'est-à-dire d'harmoniser son
équilibre avec celui du cheval. Pour cela, il se place exactement au-dessus du
centre de gravité du cheval, qui se déplace selon les mouvements de l'animal.
Le cavalier doit être détendu et calme car le cheval sent immédiatement toute
tension ou crainte.
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Le cavalier doit savoir
utiliser correctement ses aides. Celui qui tire trop sur les rênes peut blesser
sa monture et la rendre insensible!; il est indispensable de savoir agir
délicatement mais fermement sur la bouche du cheval.
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Les chevaux ont généralement trois allures naturelles : le pas, le trot et le petit galop. Un galop plus allongé s'appelle grand galop. Pour chaque allure, le cavalier doit adopter une position différente. Au pas, il se tient droit sur la selle. | ![]() |
Au trot, s'il monte avec une selle anglaise, il est légèrement penché en avant et pratique le trot enlevé!; il se lève et se rassoit à chaque pas. Avec une selle western, le cavalier se cale contre le troussequin!; c'est le trot «!assis!». Au galop, le cavalier montant avec une selle anglaise est assis ou a le corps décollé de la selle en équilibre au-dessus de ses pieds (il se penche pour aller plus vite). |
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Lorsqu'un cheval saute un obstacle, son centre de gravité se déplace vers l'avant de la selle. Pour maintenir son équilibre, le cavalier doit pencher le buste vers l'avant et décoller le corps de la selle. Une selle munie de coussinets pour les genoux et d'un troussequin légèrement surélevé est particulièrement adaptée à cette position. Le cavalier exécute ses premiers sauts au trot puis au petit galop et franchit d'abord des obstacles peu élevés. Le buste du cavalier ne doit pas basculer vers l'arrière, les jambes doivent rester plaquées contre la sangle, les talons vers le bas et les mains ne doivent exercer aucune pression sur les rênes. La pratique permet au cavalier de régler la foulée du cheval affin qu'il prenne son impulsion à distance correcte de l'obstacle.
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Le dressage consiste à apprendre à un cheval à être totalement souple, en équilibre et réceptif aux demandes du cavalier. La selle de dressage est identique à la selle anglaise avec cependant des étriers plus longs. Le travail de base du dressage consiste à allonger ou réduire la foulée du cheval au pas, au trot et au petit galop!; à pratiquer des mouvements latéraux. À l'instar du Cadre Noir de Saumur, l'école de Vienne, fondée vers 1572, est le plus grand centre du monde pour le dressage spectacle. Les mouvements de haute école comprennent entre autres le piaffer, ou trot sur place et les figures en l'air, la levade, cabrage contrôlé et la capriole, saut avec ruade des jambes arrières.
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Les chevaux sont attelés individuellement ou par deux à des calèches ou autres véhicules. Les attelages de quatre chevaux sont réservés aux véhicules plus importants. La majorité des chevaux s'adaptent bien à l'attelage.
Un des aspects essentiels de l'équitation est le soin de la monture, le pansage, la nourriture, les soins médicaux et le ferrage. Le pansage consiste à nettoyer le cheval et à stimuler la circulation sanguine. La première étape est de frotter ou étriller le cheval avec une étrille!; il s'agit de décrire de petits cercles avec l'étrille en insistant dans le sens des poils. L'étrillage aère le pelage et stimule la circulation cutanée. Il convient ensuite de brosser le corps du cheval ainsi que la queue et la crinière, avec une brosse plus dure pour ôter les poils et la boue et lisser la robe du cheval. Finalement, le palefrenier doit passer une brosse douce sur le corps et la tête de l'animal pour lustrer le poil. Le pansage consiste également à nettoyer les sabots avant et après chaque sortie et à désépaissir régulièrement la queue et la crinière.
Lorsqu'il rentre à l'écurie, le cheval doit être frotté avec une poignée de paille ou une éponge trempée dans l'eau froide!; il doit ensuite être étrillé, recouvert d'une couverture et marcher jusqu'à ce que son poil soit sec. S'il a très chaud et que son poil est mouillé, le cavalier doit le recouvrir d'une couverture, lui faire boire une petite quantité d'eau et le faire marcher jusqu'à ce qu'il soit sec.
Le ferrage est très important. Le type de fer dépend de la race du cheval, du type de travail qu'il effectue et de la façon dont il use habituellement ses sabots.
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Tous les pur-sang actuels ont au moins un ancêtre commun parmi trois étalons originaires du Proche-Orient ou d'Afrique du Nord, Byerly Turk, Darley Arabian et Godolphin Barb, importés en Grande-Bretagne entre 1689 et 1724. Leur croisement avec des juments anglaises particulièrement puissantes a produit des chevaux rapides et endurants. Les pur-sang participant aux courses officielles sont répertoriés dans le Studbook national (registre des pédigrés) de leur pays d'origine.
L'entraînement des chevaux de course commence dès l'âge de deux ans. Il s'agit principalement de leur faire accepter le poids et les ordres du cavalier. Il arrive que des deux-ans participent à des courses mais les pur-sang réalisent leurs meilleures performances entre trois et cinq ans, même si certains chevaux ont remporté des victoires à l'âge de dix ans. Certaines courses sont réservées à l'un ou l'autre sexe mais la majorité sont ouvertes aux mâles et aux femelles. Jusqu'à l'âge de trois ans, une femelle porte le nom de pouliche!; après trois ans, c'est une jument. Un cheval castré, quel que soit son âge, s'appelle un hongre. Jusqu'à trois ans, un cheval non castré est un poulain!; après trois ans, on parle simplement de cheval ou d'étalon.
Les champions ont une valeur inestimable pour leur propriétaire, non seulement en raison de leurs victoires mais aussi parce que d'autres propriétaires ou des éleveurs sont prêts à verser des sommes substantielles (prix de la saillie) pour avoir le privilège de faire saillir leurs juments poulinières par ces étalons. Ils espèrent en effet que le résultat de l'accouplement (appelé produit) sera lui-même un ou une championne.
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Les meilleurs pur-sang peuvent rapporter des sommes d'argent considérables aussi bien pendant qu'après leur carrière. En 1981, un groupe d'éleveurs américains a payé un champion européen du nom de Storm Bird 180 millions de francs!; c'est un record dans l'histoire du hippisme.
Dans les années 1960, les éleveurs ont commencé à se regrouper en syndicat pour acheter des pur-sang en copropriété, chaque membre possédant une part du cheval, généralement entre un quart et un dixième, parfois moins.
1 / Gorge |
13 / Avant-bras |
25/ Flanc |
2 / Joue |
14 / Genou |
26 / Pli du grasset |
3 / Ganaches |
15 / Canon |
27 / Fourreau |
4 / Bouche |
16 / Boulet |
28 / Pointe de la hanche |
5 / Bout du nez |
17 / Paturon |
29 / Croupe |
6 / Chanfrein |
18 / Sabot |
30 / Pointe de la fesse |
7 / Front |
19 / Garrot |
31 / Cuisse |
8 / Nuque |
20/ Dos |
32 / Grasset |
9 / Encolure |
21 / Rein |
33 / Jambe |
10 / Epaule |
22 / Passage de sangles |
34 / Jarret |
11 / Pointe de l'épaule |
23 / Côtes |
35 / Canon |
12 / Bras |
24 / Ventre |
36/ Couronne |
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la position | déroulement des courses | jockeys et entraîneurs | organisation | les paris | histoires des courses |
Courses de chevaux, courses disputées par des chevaux sur un hippodrome. Il existe plusieurs courses : la course de plat (sujet principal de cet article), le trot attelé ,les courses classiques, les courses à handicap, les courses par allocation , les courses à réclamer, la course d'obstacles (steeple-chase).
Les courses de chevaux font souvent l'objet de paris.
Les courses de plat sont des épreuves de vitesse disputées généralement par des pur-sang montés sur une distance comprise entre 400 m et 22 km. Les handicaps ou surcharges affectés aux chevaux de même catégorie en fonction de leur âge et de leur sexe, de leurs victoires précédentes et de l'expérience du jockey, permettent d'équilibrer les courses. Des plaques de plomb sont placées sous la selle afin que la charge totale, jockey et plaques, atteigne le poids fixé par le handicapeur.
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Les courses classiques sont généralement disputées par des chevaux du même âge qui portent tous le même poids. Les pouliches peuvent porter 2,3 kg de moins que les poulains. Dans les courses classiques, les propriétaires doivent acquitter un droit de participation. L'ensemble des droits ainsi qu'une prime ajoutée par l'hippodrome constituent le prix qui sera partagé par le premier, le deuxième, le troisième et (généralement) le quatrième cheval.
Les courses à handicap sont disputées par des chevaux d'âges différents. Le favori doit porter une charge plus lourde que les chevaux dont les performances ont été jusque-là moins satisfaisantes.
Dans certaines courses, les organisateurs garantissent un prix d'une valeur fixe quel que soit le nombre de partants!; dans les courses à réclamer, les vainqueurs doivent être mis aux enchères immédiatement après la course. Le premier arrivé peut cependant être racheté par son propriétaire, tous les autres concurrents peuvent être acquis au prix annoncé majoré de la valeur des droits de participation. Des propriétaires ou des éleveurs bien informés peuvent profiter des courses à réclamer pour acquérir à bon prix des chevaux dont la valeur a été sous-estimée par le propriétaire.
Pour les courses hippiques, les jockeys adoptent une position en avant beaucoup plus prononcée. Le cheval de course est très rapide et galope en ligne droite!; son centre de gravité se déplace vers l'avant. |
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Le jockey doit par conséquent se ramasser sur l'encolure du cheval et avoir les jambes placées très haut grâce à des étriers particulièrement courts. Cette position a l'avantage supplémentaire de libérer les membres antérieurs du cheval pour une meilleure impulsion et de présenter une moindre résistance au vent que la position droite.
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Les courses de chevaux se déroulent suivant un règlement très strict. Les chevaux sont sellés et montés dans le paddock, sous les yeux des spectateurs. Lorsqu'ils arrivent sur la ligne d'arrivée, les chevaux sont positionnés dans des stalles individuelles derrière le starting-gate. Lorsque le champ, terme désignant l'ensemble des participants, est correctement aligné, le starter ouvre les portes électriques des stalles. Le départ est donné aux élastiques ou avec autostart. |
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La tactique occupe une place importante dans la course, en particulier lorsque celle-ci se déroule sur plus d'un mile. Les chevaux qui sont au maximum de leur puissance dès le départ prennent la tête pendant que les autres chevaux modèrent leur effort afin d'économiser de l'énergie pour la dernière ligne droite. Les chevaux de tête garderont leur avance ou se feront dépasser!; tout dépend de leurs capacités et de leur condition physique, ainsi que des choix tactiques du jockey. |
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Les courses sont
supervisées par des commissaires et intégralement filmées. Des cellules
photo-électriques permettent de chronométrer le vainqueur lorsqu'il passe à
différents points de la piste et lorsqu'il franchit la ligne d'arrivée.
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La plupart des jockeys apprennent d'abord à connaître les chevaux en exerçant le métier de lad!; ils montent chaque matin et entraînent les chevaux. Les jockeys doivent mesurer moins de 1,70 m et ne pas peser plus de 60 kg. Ils débutent comme apprentis et bénéficient d'un handicap modéré jusqu'à ce qu'ils aient gagné un certain nombre de courses. Le jockey porte une casaque et une bombe aux couleurs et motifs du propriétaire du cheval. Il peut monter pour un propriétaire en particulier ou bien accepter de monter les chevaux proposés par les entraîneurs. Le jockey est rémunéré pour chaque cheval qu'il monte et touche un pourcentage des gains remportés par le cheval. |
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L'entraîneur prépare le cheval à la course et entretient sa condition physique tout au long de sa carrière. L'entraîneur choisit également les courses auxquelles ses chevaux participent, en tenant compte de la distance et du niveau des concurrents. Comme le jockey, l'entraîneur peut être sous contrat avec un propriétaire ou s'occuper des chevaux de plusieurs propriétaires. Il reçoit aussi un pourcentage des gains remportés par le cheval. | |
Les courses hippiques sont rigoureusement surveillées. Les officiels identifient chaque cheval avant les courses et effectuent des tests antidopage. La course est intégralement filmée et la photo d'arrivée permet de départager les concurrents trop serrés. Les commissaires peuvent disqualifier des chevaux et pénaliser des jockeys en cas de faute ou de comportement dangereux.
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Les paris contribuent largement à la popularité des courses hippiques. Selon les époques, quatre types principaux de paris ont été en vogue : les paris simples entre particuliers, les paris de sweepstakes, dans lesquels des droits de participation élevés sont collectés et récompensent les vainqueurs, les paris avec bookmakers, qui proposent une cote pour chaque cheval et prennent des paris sur leurs performances et enfin le pari mutuel. Dans ce système, qui s'est développé en France pendant les années 1860, la cote d'un cheval est le rapport entre la somme pariée sur ce cheval et la totalité des paris. Les tickets gagnants sont payés immédiatement après l'affichage officiel des résultats de la course, les rapports étant calculés par ordinateur. |
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Les paris multiples portent sur plusieurs chevaux. Le «!daily double!» en est un exemple!; les parieurs doivent essayer de trouver le gagnant de deux courses consécutives (en général les deux premières courses de la journée) et acheter le ticket avant les deux courses. Une variante du «!daily double!» est le «!pick-6!» (ou pick-3), dans lequel les parieurs doivent choisir les gagnants de 6 (ou 3) courses consécutives.
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L'histoire des courses de chevaux montés remonte au Ier millénaire av. J.-C. Auparavant, aucune race n'était assez résistante pour porter des cavaliers sur de longues distances, bien que les chevaux fussent très souvent attelés à des chars. La première course montée a eu lieu en Grèce antique. Dans l'Empire romain, les courses de chevaux existaient mais les courses de chars étaient beaucoup plus fréquentes. Après le déclin de l'Empire romain, au Ve siècle apr. J.-C., l'élevage et les courses de chevaux occupèrent une place moins importante en Occident. |
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Au VIe siècle, l'équitation a été introduite dans tout le Proche-Orient par des missionnaires musulmans qui voyageaient à cheval. Au VIIIe siècle, les Arabes qui envahirent l'Espagne possédaient des chevaux puissants et rapides d'une race inconnue en Europe. Ces chevaux étaient également attelés à des charrettes. Au fil des siècles, les montures arabes sont devenues célèbres dans toute l'Europe. En 1110, Henry Ier d'Angleterre fit importer d'Espagne un étalon arabe. Cet étalon et d'autres chevaux arabes furent accouplés à des juments anglaises particulièrement robustes mais lentes, en vue d'obtenir des chevaux rapides et résistants pour la guerre. En France, les courses hippiques modernes sont apparues en 1833. Les courses les plus importantes sont le Prix du Jockey Club (le Derby français), à Chantilly!; le Prix de Diane, à Chantilly!; le Prix Royale Oak à Longchamp et le Prix de l'Arc de triomphe, la course la plus prestigieuse d'Europe, qui se court à Longchamp sur 2 400 m.
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textes et quelques photos de : encyclopédie Microsoft Encarta 98
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